Le syndicalisme québécois de 1980 à aujourd'hui
- Avec la récession de 1981-1982, le mouvement syndical québécois perd beaucoup de son pouvoir auprès de l'État et des chefs d'entreprise. Les gouvernements en place suivent un courant néolibéral et leurs priorités sont désormais plus économiques que sociales. En effet, plusieurs programmes sociaux se voient réduits au détriment des moins bien nantis.
- Les centrales syndicales sont beaucoup moins radicales qu'elles ne l'étaient et souhaitent avant tout sauver le plus d'emplois possibles en situation d'incertitude économique.
- En 2012, plusieurs regroupements syndicaux, tels que la FTQ et la CSN, ont donné leur appui au mouvement étudiant et ont contribué financièrement à leur action.